Trek Inca Jungle (Machu Picchu): l’alternative aventure au Chemin de l’Inca

Trek Inca Jungle (Machu Picchu) : mon expérience + ce qu’il faut savoir avant de partir

Vous prévoyez de visiter le Machu Picchu et vous voulez ajouter un peu d’aventure à votre voyage?

Excellente idée !

L’Inca Jungle est bien différent du Chemin Inca classique puisqu’il inclut de nombreuses activités: randonnée, VTT, rafting et tyrolienne. C’est sans doute la façon la plus dynamique de rejoindre la citadelle inca!

Cette randonnée de 4 jours vous emmènera des hautes Andes à la jungle, en passant par des ruines incas et des paysages à couper le souffle avant d’arriver finalement au Machu Picchu.

Dans ce guide, j’ai réuni tout ce que vous devez savoir pour vous préparer à la randonnée. Vous trouverez l’itinéraire détaillé, des conseils essentiels et des astuces pratiques pour vous aider à profiter pleinement de cetteaventure.

Alors, l’Inca Jungle Trail en vaut-il le coup? Découvrons-le !

1. Itinéraire de 4 jours sur le Chemin de la Jungle Inca

Jour 1 : Cusco – Abra Málaga – Santa María (VTT & Rafting)

Le départ est à 6h – mais honêtement j’avais si hâte de partir que ça faisait quelques heures que j’étais réveillée! Une fois confortablement assise dans le van, rassurée d’être enfin en chemin, j’ai pris une petite sieste pour compléter ma courte nuit.

Le trajet jusqu’au col de Málaga (4 300m) dure environ quatre heures, avec une pause à Ollantaytambo. C’est une bonne occasion d’acheter des en-cas, de se dégourdir les jambes et d’admirer les vues avant de monter encore plus haut dans les montagnes.

Une fois arrivés au col de Málaga, le point le plus élevé de la randonnée, le vrai plaisir a commencé. L’air était vif et froid, et je pouvais voir les sommets couverts de brume qui se dressaient au-dessus de nous.

C’est là que nous avons troqué la camionnette pour des VTT et que nous nous sommes préparés pour la descente en vélo vers la jungle.

Si vous n’avez jamais fait de vélo en montagne, ne vous inquiétez pas – on vous donne un briefing complet sur la sécurité, et les vélos sont très bien équipés (casque, gants, genouillères et coudières).

J’ai eu froid au début, mais en pédalant mon corps s’est réchauffé rapidement.

Le trajet est d’environ 65 km, presque entièrement en descente, donc on peut bien profiter de la balade. Les paysages changent lorsqu’on perd de l’altitude : les pics enneigés laissent place à la végétation luxuriante, aux cascades et aux plantations de café.

En début d’après-midi, nous sommes arrivés à Santa María (1 430m), où un déjeuner nous attendait. Après tout ce vélo, j’avais une faim de loup !

La nourriture était simple mais délicieuse : poulet grillé, riz, quinoa et légumes frais. Si vous êtes végétarien, prévenez simplement votre guide à l’avance et ils auront des options pour vous.

Après le déjeuner, nous avions le choix entre nous détendre en ville ou essayer le rafting en eaux vives sur la rivière Vilcanota.

J’ai opté pour le rafting, et je suis très contente de l’avoir fait. L’eau était assez vive sans être trop intense (ou dangereuse).

En soirée, nous nous sommes installés dans une auberge à Santa María. Les chambres étaient basiques mais propres, avec des salles de bain privées et de l’eau chaude.

Après le VTT et le rafting, j’étais heureuse de pouvoir enfin me reposer. Le dîner s’est fait dans un petit restaurant local, et après avoir mangé, j’étais plus que prête à dormir – surtout qu’une journée entière de randonnée nous attendait le lendemain!

Jour 2 : Santa María – Santa Teresa (randonnée & eaux thermales)

On commencé par un petit-déjeuner assez tôt le matin, pour attaquer la première vraie journée de randonnée. Après une journée de vélo, ça faisait du bien de finalement marcher sur un sentier.

La première partie était une montée régulière en pente douce, suivant un ancien chemin inca qui reliait autrefois Machu Picchu à Vilcabamba.

Heureusement quand même qu’il y avait plusieurs arrêts en route (car je sentais mes jambes s’échauffer) y compris un petit endroit géré par une famille où nous avons pu nous reposer un peu, remplir nos gourdes et essayer des fruits locaux comme les bananes et les fruits de la passion.

Frais et sucrés, c’était exactement ce dont j’avais besoin pour continuer!

À mesure que nous montions, le paysage changeait. Il s’agissait de l’une des rares parties du trek où nous étions vraiment sur l’original réseau routier inca, un vaste réseau de routes qui reliait autrefois tout l’empire !

Le meilleur dans tout cela ? La vue sur la vallée de l’Urubamba,avec les montagnes verdoyantes s’étendant à perte de vue.

Après avoir admiré le paysage, nous avons commencé la descente vers un petit village où nous nous sommes arrêtés pour déjeuner.

La deuxième partie de la journée a été plus facile: nous avons suivi un sentier traversant des plantations de café, de coca et d’avocats, en passant par des rivières et des maisons de ferme isolées.

Le temps avait complètement changé; il faisait nettement plus chaud, dans un climat tropical, très différent de l’air frais des montagnes du matin.

En milieu d’après-midi, nous sommes arrivés à Santa Teresa, une petite ville connue principalement pour ses sources d’eau chaude.

Après une journée de randonnée, on était heureux de se détendre dans de l’eau chaude, entourés de montagnes.

Cette nuit-là, nous avons séjourné dans une auberge à Santa Teresa. Les chambres étaient simples mais confortables.

Après le dîner dans un petit restaurant local, je me suis couchée tôt. Le lendemain, on allait se diriger vers Aguas Calientes, un pas de plus vers le Machu Picchu.

Jour 3 : Santa Teresa – Aguas Calientes (Tyrolienne & Randonnée)

Aujourd’hui, après le petit-déjeuner, vous avez l’option d’essayer la tyrolienne avant de commencer la randonnée.

Au début, je n’étais pas sûre de vouloir le faire, mais une fois le premier moment d’hésitation passé, ce fut une expérience incroyable.

Une fois tout le monde réuni à nouveau, nous avons commencé à marcher en direction de Hidroeléctrica, où nous nous sommes arrêtés pour déjeuner.

Par rapport au jour précédent, cette partie semblait beaucoup plus facile—sur un terrain plat, avec des vues sur la jungle et la rivière.

Et nous avons finalement obtenu notre première vue sur le Machu Picchu, perché en haut de la montagne devant nous !

Après le déjeuner, nous avons continué le long de la voie ferrée menant à Aguas Calientes.

Cette partie de la randonnée était différente—pas de grosses montées, pas de descentes intenses, juste une promenade paisible dans la vallée avec le bruit de la rivière et le passage occasionnel du train.

En fin d’après-midi, nous sommes arrivés à Aguas Calientes.

Après le dîner dans un restaurant local, nous sommes partis directement au lit, pour être en forme pour la visite du Machu Picchu!

Jour 4 : Machu Picchu – Cusco

La journée finale a commencé avant l’aube, et même si se réveiller tôt était un peu difficile après trois jours de trek, on avait tous hâte de voir enfin le Machu Picchu.

Pour atteindre l’entrée, vous pouvez soit monter les escaliers (environ une heure) soit prendre le bus (coût supplémentaire, environ 30 minutes).

Pour être honnête, le chemin de montée n’en vaut pas vraiment la peine—il est poussiéreux, les bus passent constamment, et le paysage n’est pas très intéressant.

Après tous les paysages incroyables que j’avais déjà traversé à pied, j’ai décidé de simplement prendre le bus et de conserver mon énergie pour profiter pleinement du Machu Picchu lui-même.

En marchant à travers les terrasses, les temples et les sentiers étroits, le guide nous a fait visiter le site, expliquant l’histoire, l’architecture et comment les Incas ont construit cette cité incroyable, bien cachée entre les montagnes.

Après avoir exploré les ruines, il était temps de redescendre à Aguas Calientes, prendre un dernier repas et prendre le chemin du retour.

La majorité du groupe est revenue en train, tandis que d’autres ont choisi de revenir en passant par Hidroelectrica (moins cher).

Au lieu de retourner directement à Cusco, j’ai décidé de rester un peu à Ollantaytambo, faire une pause et profiter du village avant de revenir plus tard.

Si vous n’avez pas encore eu la chance d’explorer la Vallée Sacrée de Incas, je vous recommande vivement de le faire maintenant—c’est un incontournable de tout voyage au Pérou !

2. Qu’est-ce qui est inclus dans le Trek de l’Inca Jungle ?

La plupart des agences proposent des forfaits similaires, mais la qualité des services peut varier énormément—particulièrement en ce qui concerne l’hébergement, la nourriture et l’état des vélos.

Voici ce qui est généralement inclus et non inclus:

Ce qui est inclus

• Transport : Prise en charge depuis votre hôtel à Cusco, transport privé jusqu’à Abra Málaga et retour (habituellement en train, mais toujours à confirmer avec l’agence).
• Hébergement : Trois nuits dans auberges basiques (Santa María, Santa Teresa, Aguas Calientes). Simple mais confortable, généralement avec salle de bain privée
• Repas : Trois petits-déjeuners, trois déjeuners et trois dîners. La nourriture est simple mais copieuse, et des options végétariennes sont disponibles si vous demandez à l’avance.
• Équipement pour le vélo : Un VTT en bon état,avec casque, gants et protections pour les genoux/coudes pour la descente du Jour 1.
• Guide : Un guide bilingue (espagnol/anglais) qui dirige le trek, partage l’histoire locale et s’assure que tout se déroule bien.
• Billet d’entrée au Machu Picchu : Le billet d’entrée standard est inclus dans le prix du trek.

Ce qui n’est PAS inclus

• Dernier déjeuner à Aguas Calientes : Après la visite du Machu Picchu, vous aurez du temps libre avant de repartir, mais le dernier repas n’est pas inclus.
• La montée au Huayna Picchu ou à la Montagne Machu Picchu –Elles doivent être réservées séparément, car elles ne sont pas incluses dans le trek.
• Boissons et snacks : Eau, boissons non alcoolisées et en-cas le long du chemin ne sont pas inclus, donc prévoyez de l’argent supplémentaire.
• Pourboires pour les guides et le personnel : Optionnels, mais appréciés si vous avez eu une bonne expérience.
• Assurance personnelle – Découvrez mon comparatif d’assurance pour le Pérou ici!

3. Comment réserver l’Inca Jungle ?

Combien de temps à l’avance faut-il réserver ?

Contrairement au Chemin Inca, qui doit être réservé des mois à l’avance, ou au Trek de Salkantay, qui est son alternative la plus populaire, le Trek de la Jungle Inca est beaucoup plus flexible.

En haute saison (de mai à septembre), je recommande quand même de réserver au moins quelques semaines à l’avance, surtout si vous souhaitez ajouter Huayna Picchu ou la Montagne Machu Picchu.

En basse saison, il est souvent possible de trouver des places quelques jours avant, mais personnellement je préfère réserver à l’avance pour éviter le stress de dernière minute.

Comment réserver une agence de tour fiable ?

Toutes les agences au Pérou ne travaillent pas de la même manière, il vaut donc la peine de prendre un peu de temps pour comparer avant de réserver. Voici ce que je recherche toujours :

• Une liste claire de ce qui est inclus – Si une agence n’explique pas clairement ce qui est couvert (billet pour le Machu Picchu, transport, repas, activités), je l’évite. Le manque de transparence signifie généralement qu’il y aura des coûts supplémentaires imprévus en cours de route.
• Des avis positifs récents sur des plateformes telles que GetYourGuide – Les avis de voyageurs sont le meilleur moyen de vérifier si une agence tient ses promesses. Si je vois plusieurs mauvaises expériences, je passe mon chemin.
• Des groupes de petite taille – Plus le groupe est petit, meilleure est l’expérience. Cela signifie généralement une attention personnalisée de la part du guide, une meilleure logistique et une randonnée plus fluide.

Nous voulons tous des guides expérimentés et un bon équipement de vélo, mais il est difficile de le vérifier d’avance.

C’est pourquoi je me concentre sur la transparence d’une agence, les avis des voyageurs, et la taille du groupe. Ces éléments sont généralement de bons signes que vous réservez avec une entreprise fiable.

4. Quelle est la meilleure période de l’année pour faire l’Inca Jungle trail?

La meilleure période pour faire le trek de l’Inca Jungle est pendant la saison sèche, d’avril à octobre.

Le temps est plus stable, avec des journées chaudes et des nuits plus fraîches, ce qui est idéal pour le vélo, la randonnée et la tyrolienne.

La saison des pluies (de novembre à mars) apporte plus de précipitations, rendant certaines sections boueuses et le parcours à vélo plus difficile.

Si vos dates sont flexibles, je vous recommande de le faire pendant la saison sèche pour une expérience plus confortable.

5. Comment éviter le mal des montagnes lors du trek de l’Inca Jungle ?

Le point le plus haut du trek est l’Abra Málaga (4 300m), que vous atteindrez le premier jour, avant la descente à vélo.

La majorité du trek se déroule dans la jungle, où l’altitude pose moins de problème.

Le mal des montagnes affecte chaque personne différemment – certains le ressentent fortement, d’autres à peine.

Personnellement, je ressens toujours l’altitude à mon arrivée à Cusco, alors je m’assure de me reposer le premier jour, je bois beaucoup d’eau, je mange léger et je fais une sieste.

J’ai des amis qui ne ressentent rien du tout, et je les envie ! 🙂

Il est préférable de passer au moins deux jours en altitude avant de commencer le trek pour donner à votre corps le temps de s’adapter. Vous pouvez prendre votre temps pour visiter Cusco et explorer la Vallée Sacrée – il y a tant à voir !

6. L’Inca Jungle Trail est-il ouvert toute l’année ?

Oui, l’Inca Jungle Trek est ouvert toute l’année, mais la saison des pluies (novembre à mars) peut rendre certaines parties plus difficiles, notamment les sections de vélo et de randonnée.

Cela dit, seul le chemin Inca officiel ferme en février pour maintenance et parce que le sentier devient trop boueux.

Le trek de la jungle inca reste ouvert, mais gardez à l’esprit que les conditions en février sont loin d’être idéales.

7. Puis-je louer de l’équipement pour le trek de la jungle inca ?

La plupart des opérateurs de tours fournissent des vélos, des casques et du matériel de sécurité pour la section vélo.

Certaines agences proposent également à la location des bâtons de marche, des ponchos de pluie et des sacs de couchage. Il est toujours préférable de demander à l’avance à votre opérateur de tour ce qui est inclus et ce qui peut être loué, afin de ne pas apporter d’objets inutiles ou de vous retrouver pris au dépourvu.

8. Le trek est-il difficile ? Les débutants peuvent-ils le faire ?

Le trek de la jungle inca est considéré de difficulté facile à modérée. Il n’est pas aussi intense que le Chemin Inca classique ou le trek de Salkantay, mais il nécessite tout de même une bonne condition physique.

Le principal défi provient des longues distances de randonnée, du terrain inégal et du mélange d’activités telles que le vélo et la tyrolienne.

Si vous êtes actif et à l’aise pour marcher plusieurs heures par jour, vous devriez être capable de le faire. Si vous faites rarement de l’exercice, je vous suggère de vous entraîner un peu au préalable, en prenant des marches ou en faisant de la randonnée.

9. Puis-je faire l’Inca Jungle seul ou le guide est-il obligatoire ?

Le trek de la jungle inca doit être effectué avec une agence, contrairement au trek de Salkantay, que certaines personnes font de manière indépendante.

Puisque ce trek inclut du vélo, du rafting et de la tyrolienne, il nécessite des guides certifiés pour des raisons de sécurité.

10. Le trek de la jungle inca est-il sécuritaire ?

Oui, à condition d’aller avec une agence réputée qui fournit un équipement approprié et des guides expérimentés.

Les principaux risques proviennent du vélo en descente et des activités d’aventure comme le rafting et la tyrolienne, il est donc important de suivre les instructions et de porter l’équipement de sécurité fourni. Je recommande de réserver avec une société bien notée pour garantir que tout soit bien organisé et en sécurité.

11. En quoi cette randonnée est-elle différente du Chemin de l’Inca classique ?

Le Trek de la Jungle Inca est pour ceux qui recherchent un mélange d’aventure et de randonnée au lieu de simplement marcher.

Il attire généralement un public plus jeune et plus aventureux — des personnes à la recherche d’un moyen amusant et actif pour atteindre le Machu Picchu, plutôt que de se concentrer uniquement sur l’histoire et l’archéologie.

Le Chemin de l’Inca classique est une expérience complètement différente. Il suit une ancienne route utilisée par les Incas, passant par plusieurs ruines avant d’atteindre le Machu Picchu à travers la célèbre Porte du Soleil.

Et c’est cela qui le rend si spécial — c’est le seul trek où l’on marche directement jusqu’au Machu Picchu, tout comme le faisaient les Incas !

C’est pourquoi il nécessite un permis spécial, que les agences doivent obtenir des mois à l’avance. Cela le rend plus coûteux, mais le prix élevé reflète également l’exclusivité, la signification historique et les protections environnementales plus strictes de l’itinéraire.

Si vous cherchez une manière moins traditionnelle mais remplie d’adrénaline de vous rendre au Machu Picchu, le trek de l’Inca Jungle est une excellente option.

12. Puis-je faire le Trek de l’Inca Jungle pendant la saison des pluies ?

Oui, le trek se fait toute l’année, mais attendez-vous à bien plus de pluie entre novembre et mars.

Le vélo peut être plus compliqué puisque les routes sont mouillées, et les sentiers de randonnée boueux, donc il faudra être particulièrement prudent, surtout sur les terrains escarpés ou inégaux.

Cela dit, seul le Chemin de l’Inca classique est fermé en février, donc le Trek de la Jungle Inca reste une option pendant cette période.

Si la pluie ne vous dérange pas, ce sera une expérience formidable et sans foules!

13. Faut-il souscrire à une assurance voyage pour le Trek de la Jungle Inca ?

Je recommande toujours de souscrire à une assurance voyage—on ne sait jamais quand on en aura besoin. Mais pour un trek comme celui-ci, avec des activités d’aventure impliquées, c’est essentiel!

En avoir une vous donnera la tranquillité d’esprit — espérons que vous n’en aurez pas besoin, mais si quelque chose arrive, vous serez content de l’avoir. 😉

14. Que faut-il emporter pour le Trek de la Jungle Inca

Vous n’avez pas besoin d’emporter beaucoup de choses, mais il y a certaines choses qui rendront votre randonnée plus confortable. Voici ce que je recommande :

Essentiels

• Passeport – Vous en aurez besoin pour entrer au Machu Picchu, alors ne l’oubliez pas ! Je garde toujours le mien dans un sac ziplock pour le protéger de l’humidité.
• Petit sac à dos (25-30L) – Juste assez grand pour emporter vos essentiels quotidiens.
• Espèces en soles – Les cartes sont presque jamais acceptées, et bien qu’il y ait des distributeurs près et sur la Plaza de Armas à Santa Teresa, je ne compterais pas dessus — parfois il n’y a pas d’argent, ou ils ne fonctionnent tout simplement pas.
• Assurance personnelle – assurez-vous toujours d’avoir une assurance voyage — c’est juste une de ces choses que vous ne voulez pas ignorer, surtout sur un trek avec des activités d’aventure !

Vêtements

• Chaussures de randonnée – Vous n’avez pas besoin de bottes, mais assurez-vous qu’elles ont une bonne adhérence étant donnée que certaines sections peuvent être glissantes.
• Sandales ou tongs – Croyez-moi, après une longue journée de randonnée, vous aurez envie de retirer vos chaussures pour laisser respirer vos petits pieds.
• Vêtements de randonnée respirants – La jungle est chaude et humide, donc je choisis toujours des t-shirts et pantalons légers et à séchage rapide.
• Couches chaudes – Les matins et les soirs peuvent être frais, donc une polaire ou une veste légère est utile.
• Veste imperméable ou poncho – Il peut pleuvoir à tout moment, surtout en saison humide, et rien n’est pire que de marcher des heures dans des vêtements mouillés.

Autres objets utiles

• Anti-moustiques – C’est indispensable. Les moustiques dans la jungle ne plaisantent pas. Ils sont voraces!
• Creme solaire & lunettes de soleil – Le soleil est fort, surtout en haute altitude. Même quand il fait nuageux, vous pouvez vous brûler.
• Lampe frontale ou torche – Les départs matinaux se font dans le noir, donc avoir votre propre lumière est toujours une bonne idée. Je n’en avais pas apporté une et j’ai vraiment regretté!
• Assez d’eau – L’eau du robinet au Pérou n’est pas potable, donc vous devrez apporter la vôtre. Vous ne pouvez pas simplement remplir n’importe où, et bien que l’eau en bouteille soit disponible en chemin, il est préférable d’en avoir suffisamment dès le départ.
• Snacks – Les repas sont bons, mais j’aime toujours avoir quelques barres énergétiques ou noix supplémentaires pour les sections de randonnée les plus longues.

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